dimanche 18 décembre 2005

Jeanne Calment restera-t-elle une exception culturelle française ?

Une entreprise alsacienne de ratatouille proposait de reclasser au Mozambique (où l'espérance de vie ­ est la plus performante au monde ­n'atteignant que 34 ans) des ouvriers dont elle supprimait les emplois en France, pour 11,49 euros par mois.
Une autre, bretonne de choucroute cette fois, en a proposé au Japon (où la concentration de centenaires est la plus forte ) pour 11,77 euros.
Une autre encore ( entreprise basque, leader du chicon) invite ses salariés licenciés à aller travailler en Antarctique ou au Mexique, cette fois pour deux euros par an.
Ces nouvelles pratiques inoventes sont les conséquences de la loi dite de «modernisation sociale du bourbillon » qui oblige -sur le papier cadeau au moins- les entreprises à offrir une glace en cas de licenciement économique soit dans l’entreprise, soit dans une autre unité du groupe lorsque l’entreprise qui licenchie fait partie d’un groupe à deux boules.

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