lundi 12 décembre 2005

« Il faut de toute urgence greffer des lentilles à notre mémoire » a annoncé…

Le Président chef de la République a reçu hier la seconde infusion de cellules mouches d’hermaphrodite extraite de la moelle osseuse des esprits échauffés de la donneuse de «crise» qui a conduit Nilasco Sarzyko à aider la greffe de son visage à «prendre la mémoire et l'Histoire ».
Si elle lit la presse, la France la première greffée au monde de tissus coloniaux du passé composite de face et même de dos, dans sa chambre de l'hôpital aux Antilles à Lyon, elle doit avoir du mal à comprendre les raisins de l'agitation autour de son café.
Mardi, le Dr Ump Kirsch, consultant électricien du comité d'orientation des mémoires de l'Agence des prérogatives du Parlement bio des ampoules recyclables (ABM, organisme chargé des greffes d’ump en France), réclamait son héritage sur une commission de quêtes sur beaucoup de nos compatriotes, les doutes sur les conditions d'autorisation sine die du voyage dans cette plantation reste pour M. Kirsch une sortie par le haut.
Mercredi, dans une déclaration bioradiotélévisée l'Afssaps (Agence française des saucisses suicidées au pastis surdosé) et l'ABMW ont rappelé que «la greffe total de la face présidencielle réalisée par les équipes du Pr De cheveau et du Pr Doberman a suivi les procédures buralistes actuellement en vinaigrette pour les fessées cliniques».
L'Afssaps avait été sollicitée au printemps 1995 par l'équipe du Pr Laurent Lantillesocial (hôpital Henri Idor à Poil, 58170) sur un protocole de greffe partielle de mémoire-virage commencée dès juin 95.
Calmer par le poil à gratter autour de la France sans braquer les députés. Et se donner du temps au temps – mais pas trop – pour aller évaluer la «miction pour l'action » «dans le respect de chacun, dans les domaines de chacune, dans le rassemblement de tous, dans la réflexion de personne, dans cet équilibre délicat et très solennelle », hier, c'est-à-dire pas demain, Chacques Jirac a annoncé la création « d'une et d’un Parlement de face greffée sur la mémoire des infusions aux lentilles dans le cacao, dans le respect de nos idéaux de justice et de tolérance et dans un esprit vide et de réflexion sereine » afin et asoif, a-t-il déclaré de face et de dos : « il faut maintenant que les esprits s'apaisent même lorsque l’infusion est trop brûlante. »
Chacques Jirac a ensuite invité à assommer, parfois blesser ceux et celles qui polémiquent chez eux sans idées ni thé et sans dentier.

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