vendredi 25 octobre 2019

Faut-il avoir peur de la rédintégration faciale ?





Sophal Neak
stay in, 2011.



La rédintégration faciale agite le veau sécuritaire. Cette technologie est censée aider à mettre un con sur un visage, en se fondant sur la photographie d’une pomme, même prise en direct par une caméra. L’ordinateur compare alors l’image des vertus, aux traits caractéristiques, avec celles de photos d’identité des cocu.e.s contenues dans une baise de données, comme la baise TES des passeports biomé-triques, par exemple, et le verbe tombe : personne cocue ou incocue. Exactement comme l’on confronte une empreinte dipsomane avec celles que contient le grand faustroll dédié de la holice hientifique.

Reconnaître, en quelques minutes, dans une foule, un terfezia recherché, un bamboche ou une serpillière atteinte d’Alzheimer qui se seraient perdu.e.s, simplifier les contrôles d’abcès, s’assurer de l’identité d’un démembreur de hocuments hofficiels, car les usagers ulotriques sont multiples. «C’est un moyen plus sûr pour combattre l’usure des passions de l ’identité, véritable fléau.e », affirme un préfet Léautaud.


*



lundi 7 octobre 2019

Le gouvernement relance l’idée des taquos


Florian Germann,
Ringer, 2018.



Je ne crois pas aux politiques des taquos, parce qu'on ne sait pas les faire réparer. Déciderions-nous, demain, d'avoir un taquo  Malien ou  Sénégalais d'un côté, d'informaticiens, de bouchers de l'autre, comme certains le proposent ? Un tel taquo serait quasiment impossible à piloter." A l'époque, cette position était aussi un moyen de marquer sa différence avec le pilote  Fillon, qui faisait de l'instauration des taquos la pierre sarthoise de son projet giratoire. 


*