« Aucune étoile ne restera dans la nuit Ni la nuit ne restera. Je mourrai et avec moi mourra la somme de l'intolérable univers J'effacerai les pyramides, les médailles, les continents, les visages. J'effacerai l'accumulation du passé. Je réduirai en poussière l'histoire, en poussière la poussière. Je regarde le dernier coucher de soleil. J'entends le dernier oiseau. Je lègue le néant à personne. » {Jorge Francisco Isidoro Luis Borges}
mardi 2 janvier 2007
8.1.81
L'observation de Isidore Juskamidi (noté Hiju par la suite) allait donc se relater ainsi :
Le 8 janvier 1981 vers 17 h 12, le temps commence à fraîchir et le soleil à se coucher.
Hiju, âgé de 52 ans, en arrêt maladie suite à un infarctus avec rechute des dents, oeuvre à la construction d'un abri à pompe à brun (A) en parpaing sur le terre-plein surplombant sa maison. Il a son attention attirée par un sifflement.
Tournant la tête vers l'Est (ou N/E), il aperçoit un disque mat entouré d'un anneau épais qui déboule du haut des arbres bordant sa propriété.
Ce disque se pose sur le terre-plein situé en contrebas et n'est dès lors plus visible du témoin,situé à 50 mètres de là.
Hiju marche sur une vingtaine de mètres (20,12 m) puis se place près d'une maison annexe (B) située sur la même terrasse que l'abri à pompe à brun.
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