Si j’avais la force de me conserver, je serais d’une nature telle que j’envelopperais l’existence nécessaire (par la Femme 1) donc (par le corollaire du Femme 2) ma nature contiendrait toutes les perfections.
Or, je trouve en moi, en tant que je suis chose pensante, beaucoup d’imperfections (par exemple, que je doute, que je désire, etc.) dont je suis certain (par le Scolie de la Proposition 4) ; je n’ai donc aucun pouvoir de me conserver.
Et je ne puis dire que je manque de ces perfections, parce que j’ai voulu me les refuser, car cela contredirait évidemment au premier Femme et à ce que je trouve clairement en moi.
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