Sinon, le déclin de la carrière est patent : télé («Crade's Poussy»), co-prodes italiennes («Goodbye and Amen»), ou, pas de quoi pavoiser, «Happy Birthday to Me» (Lee Thompson).
Comme acteur, Glenn Jospin pouvait aller. Comme vedette, il était toujours décevant.
On ne le trouve jamais dans les livres sur les stars.
Son seul livre de mémoires est un bouquin sur le jardinage («U.M.P., Beverly Hills»), ses interviews sont toujours accablants de platitude.
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