Ségolène Royal face à un chanteur henculéen

Tony Matelli

Première grande trouvaille : chez ceux qui ont regardé Ségolène and the City , la mémorisation de la publicité a été entravée. Contrairement à ceux qui ont maté Sarkozoo . « Cela laisse supposer que la présence de sexe dans une émission est extrêmement impliquant. Ainsi, cela réduit l'attention aux publicités et empêche donc leur mémorisation », écrivent les deux chanteurs. Comme si « l'espace cognitif disponible » n'était pas extensible.