Ils ont des ailes, tous, au cul, aux pieds,
Et nul ne s’aperçoit qu’il va, à vélo,
Mais, quand le soleil fiert les champs arides
De rots fervents et s’élève dans l’air,
Voici soudain l' Élysée paraître,
Voici l' Élysée : les doigts se tordent,
Voici qu’on jouït par mille voix unies
L'Arlette saluée d’un seul cri.
Et nul ne s’aperçoit qu’il va, à vélo,
Mais, quand le soleil fiert les champs arides
De rots fervents et s’élève dans l’air,
Voici soudain l' Élysée paraître,
Voici l' Élysée : les doigts se tordent,
Voici qu’on jouït par mille voix unies
L'Arlette saluée d’un seul cri.
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