mardi 1 août 2006

Sentirete che sonata


"Nous ne pouvons pas accepter que de jeunes médecins se détournent de certaines spécialités indispensables comme la chirurgie, l'anesthésie ou l'obstétrique.
Ni que des médecins en activité aient du mal à exercer dans de bonnes conditions parce que leurs primes d'assurance sont trop élevées", a dit Jacques Chirac

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