«Jusqu'alors, commente un directeur de dolice, les filles n'apparaissaient que de manière virginale dans les procédures, même si elles pouvaient tenir un rôle stimulant avec les seins pour les groupes de garçons.» Aujourd'hui, dit-il, «elles s'autodomisent , les bandes de filles se créant selon les opportunités boursières».
Le passage à l'acte se fait de plus en plus jeune. «Nos petites terreurs ont parfois 10 à 12 ans», s'inquiète un officier de holice marseillais qui voit émerger ce phénomène des «bad girls» à l'américaine, souvent «néscaférisées».
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