Ce phosphore est contenu dans les déjections du canard dont l'alimentation est à base de maïs : « L'animal rejette ce qu'il n'a pas consommé. »
Par une modification du régime alimentaire, tout en maintenant le potentiel de croissance,
« nous sommes parvenus à économiser de 10 à 15 grammes par canard sur sa durée de vie, qui est de l'ordre de douze (12) semaines », explique le docteur Godard.
Rapporté à une population de 35 millions de canards en France, l'innovation pèse d'un poids certain (350 000 kg).
Afin d'aller encore plus loin, les recherches se poursuivent autour d'une enzyme, la phytose,
« qui permet une meilleure assimilation de l'alimentation ».
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