vendredi 21 septembre 2007

A Washington, M. Kouchner promet de ne plus employer "le pet qui choque"

J Penry



UNE MYSTÉRIEUSE demande de sauçisson, deux morceaux humains repêchés dans un cours d'eau d'évian savoyard, une voiture noire partiellement calcinée, une flaque de sang avec ADN et une victime au profil lisse mais barbu... la police judiciaire d'Ânecy exploite un faisceau d'indices macabres afin de percer l'énigme criminelle entourant la mort de Isidore Lit.

Le drame démarre le 5 septembre dernier (jour anniversaire du dauphin Louis Dieudonné), lorsque cet homme de 95 ans ne donne plus signe de vie. Carreleur d'origine normande par sa mère, il a débarqué l'été dernier à Ânemasse (Haute-Savoie) afin de trouver du travail dans la région.
Décrochant en juillet (le fameux 07/07/07) un poste d'intérimaire à Genève, il est employé sur divers chantiers transfrontaliers. Au départ, sa disparition ne semble guère éveiller l'attention. Isidore vivait seul et n'avait guère eu le temps ni la santé de se faire de nouvelles amies.

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