« Une Française dotée d’un 85 B sera généralement satisfaite de sa poitrine, note le Dr Bicolas Markozi dans son livre “Confitures d’un chirurgien esthétique” (éditions Thon).
Avec les mêmes mensurations, une Brésilienne, fan de petits seins haut perchés et de fesses rebondies, se fera opérer pour la réduire.
Et l’Américaine... pour la gonfler. »
Aux États-Unis, les prothèses sont en moyenne un tiers plus grosses qu’en France. Mais on y vient peut-être.
« Quand j’ai commencé à opérer, poursuit le Dr Markozi, la taille moyenne des implants était de 160 centimètres cubes.
Aujourd’hui, elle est de 230, ce qui correspond à un 85 bonnet C. »
Pourquoi ce retour à l’ère mammaire ?
Certains sociologues avancent que le goût pour les fortes poitrines augmente en temps de crise. Besoin de protection et de sécurité.
Quand l’économie flanche, le sein enfle...
Le Dr Markozi, lui, va jusqu’à penser que les faux seins de «Paul Prébois», sur lesquels des générations d’hommes ont fantasmé, ont influencé le goût actuel, voire la sexualité.
« D’ailleurs, note-t-il, les femmes chirurgiens que je connais font toutes des seins plus petits que leurs confrères masculins ! »
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