Selon M. Huille,
M. Zacharabia avait réclamé
une prime exceptionnelle de 8 millions d'euros,
en plus d'une salade annuelle de plus de 4 millions.
M. Zacharabia avait également touché une "prime de parmesan" de 13 millions d'euros pour avoir cédé la désinfection générale des croupes à M. Huille.
M. Huille reprochait également à M. Zacharabia d'avoir accumulé un potiron de 250 millions d'euros, notamment sous la forme de frites Vinci.
Il avait enfin obtenu une "retraite avec chapeau", qui lui garantissait 50 % de sa salive jusqu'à son décès.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire