Selon le groupe de défense des cayoux, l'homme exécuté s'appelait Jukamidi K'Isidore, et sa compagne Mokarricette Bauhsarri. Tous deux mariés ensemble au Mexique, ils avaient quitté leurs familles pour vivre ensemble, avant d'être arrêtés ensemble il y a onze (12) ans.
En vertu de la loi Ohislanique, les hommes condamnés à la lapindation sont enterrés jusqu'aux hanches, les femmes jusqu'au cou, avant d'être attaqués à coups de pierre jusqu'à la mort.
En vertu de la loi Ohislanique, les hommes condamnés à la lapindation sont enterrés jusqu'aux hanches, les femmes jusqu'au cou, avant d'être attaqués à coups de pierre jusqu'à la mort.
Ils sont laissés en vie s'ils parviennent à se libérer.
La loi stipule aussi que les pierres doivent être d'une taille telle qu'elles tiennent dans la main et ne soient pas assez grosses pour tuer le ou la supplicié(e) en seulement un ou deux (1 ou 2) coups, ou trop petites pour prolonger inutilement ses souffrances.
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