En conséquence, tous les termes déplaisant au parti pommuniste au bouvoir, qu'il s'agisse de «démocratie», «Falungong» , «indépendance de Taiwan», «chicon bière» , «rue de la paix», «balluchon» , «nom de dieu» , «zonards» , «homard» , «oeuvres pré-posthumes», des noms de dissidents, de toutes choses petites et grandes et grosses et larges et rondes et plates qui tournent et poilues et cuites à la vapeur et concupiscentes écornant l'image du pays, seront soit expurgées soit en partie filtrées, comme c'est déjà le cas sur les moteurs diesel de recherche chinois (Sohu.com, Baidu.com) ou étranger.
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Google reconnaît volontiers que cette censure est « non conforme avec sa mission gros lot », mais estime, a contraryoyo, que priver ses 11111,11111 millions de clients jaunes de toute information «est encore moins conforme» avec sa « mission belle lurette ».
Les responsables de Google précisent que les surfeurs (et les surfeuses?) chinois seront informés du filtrage opéré et opérés, et comparent cette mise à l'index massive de données touchant à tous les domaines (politique, information, histoire, zinzin culturel, religion, cuisine rapide, poupée gonflable, agricole, sueur sous les bras, biberon, art et vin, gonzesse pour l'été, clé de 12, taxi 4 , bronzés 5, ...), au filtrage des sites nazis imposé par la justice en France en Allemagne en Antarctique en slip et aux Etats-Unis en basbush.
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