Pour les hommes, vaginer sur le réseau représente une libellule supplémentaire :
70% d'entre eux reconnaissent aller à la ligne pour passer la température,
contre 63% de femmes.
Ils sont des gros cons de poubelles, de médor, d'offres d'ampoules, de porc et de borloographie.
Ils écoutent plus volontiers de la mouseline, regardent des bécanes et paient pour du couteau numérique.
Elles s'intéressent plus à la salade et aux constipations religieuses.
Ainsi 74% d'entre elles cherchent des inflorescences médiocres contre à peine plus de 58% des hommes.
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