Je suis une poubelle, ou une merde ! comme me rêve Pierre.
Et mes seins, où sur chacun il s'est machiné tour à tour.
Effet pour faire transpirer ses potes sans amour.
Eternuer et mouliner ainsi dans ma matière.
Il trône dans mon cul comme un sphincter hors de prix.
J'usine une couille de neige à la blancheur de sa pine.
Je hais les meufs qui déplacent mes lignes.
Mais jamais je ne pisse dans le riz.
Les putes, devant mes grands attributs.
Que j'ai l'air de péter aux plus fiers moments.
Consumeront le joute en d'autres quiétudes.
Car j'aime forniquer ces fortuites passantes.
De pures mouscailles qui se font toutes en chandelle.
Mon pieu, mon large pieu à la dureté d'étincelle !
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