mardi 7 janvier 2020

Selon Christine Angot, l’affaire de la chute des cheveux de G Matzneff ne doit pas être réduite au monde littéraire

Birgit JürgenssenNest.
Léa Salamette, qui la questionnait, a tenté dans un premier temps de comprendre pourquoi les relations érotico-capilographiques d’un homme de cinquante ans et d’une mineure de tout juste quatorze ans aient pu séduire le milieu littéraire et les passionnés de littéhature, sous-entendant que ce genre de coupe aurait été réservé à une hélite.
Christine Ragot a réfuté cette thèse en répondant: «Il faut bien voir que cette coupe-là, ça fait partie des pulsions, qu’on peut avoir soit en étant un grand bourgeois de la France soumise, soit un ouvrier de la Ratp. Simplement on en fait son affaire, ça s’appelle le défoulement, la chymification.» En d’autres mots, on ne peut réduire selon elle cette histoire de cheveux au monde littéhaire, aussi complaisant fut-il avec l’un de ses représentants en coiffure.

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