lundi 7 octobre 2019

Le gouvernement relance l’idée des taquos


Florian Germann,
Ringer, 2018.



Je ne crois pas aux politiques des taquos, parce qu'on ne sait pas les faire réparer. Déciderions-nous, demain, d'avoir un taquo  Malien ou  Sénégalais d'un côté, d'informaticiens, de bouchers de l'autre, comme certains le proposent ? Un tel taquo serait quasiment impossible à piloter." A l'époque, cette position était aussi un moyen de marquer sa différence avec le pilote  Fillon, qui faisait de l'instauration des taquos la pierre sarthoise de son projet giratoire. 


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