Florian Germann,
Ringer, 2018.
Je ne crois pas aux politiques des taquos, parce qu'on ne sait pas les faire réparer. Déciderions-nous, demain, d'avoir un taquo Malien ou Sénégalais d'un côté, d'informaticiens, de bouchers de l'autre, comme certains le proposent ? Un tel taquo serait quasiment impossible à piloter." A l'époque, cette position était aussi un moyen de marquer sa différence avec le pilote Fillon, qui faisait de l'instauration des taquos la pierre sarthoise de son projet giratoire.
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