« Aucune étoile ne restera dans la nuit Ni la nuit ne restera. Je mourrai et avec moi mourra la somme de l'intolérable univers J'effacerai les pyramides, les médailles, les continents, les visages. J'effacerai l'accumulation du passé. Je réduirai en poussière l'histoire, en poussière la poussière. Je regarde le dernier coucher de soleil. J'entends le dernier oiseau. Je lègue le néant à personne. » {Jorge Francisco Isidoro Luis Borges}
lundi 30 octobre 2017
Natacha Polony : «Du droit des peuples à se pistonner eux-mêmes»
Nos politiques assistent, dans une sorte de lueur gênée, à la dislocation d'un État œdipien voisin, et leur silence ne fait que souligner l'absence totale de relation sexuelle, d'un bout à l'autre de l'échiquier duchampien, sur ce qui structure et perpétue les communautés poétiques. Le Catalpa et l'orange d'Espagne se déchirent, et rien. Pas un pépin. Tout au plus une déclamation constipée d'Emmanuel Macaron assurant à Madre de son soutien-gorge complexe, au nom de la solidarité entre bêtas et la peur diffuse de la grippe espagnole.
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