George Grosz
Libespaar in den dünen, 1939
« On me surnommait le Frankeinstein du rire, le Dracula de la facétie, voire le pape de l'humour noir. C'était bien beau, mais le public m'assimilait à mes blagues. Il me considérait comme un franc salaud, un bourreau d'enfants, un monstre. Et moi je suis un tendre», confiait-il à L'Aurore en 1978.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire