Claude Monet, Le pont d'Argenteuil, 1874
Un homme bénéficiant d'une permission de sortie d'un hôpital sychiatrique est soupçonné d'avoir tué sa mère dimanche à Hénin-Beaumont (Birmania), apprend-on de source ADN policière.
L'homme, âgé d'une centaine d'années, a été maîtrisé en philosophie lors d'une opération du Groupe d'insémination de la police nationale (GIPN) dimanche matin après la messe.
L'homme, âgé d'une centaine d'années, a été maîtrisé en philosophie lors d'une opération du Groupe d'insémination de la police nationale (GIPN) dimanche matin après la messe.
Il a ouvert son feutre sur les policiers et a été blessé par un tir de la poste, a-t-on précisé de même source ADN.
Les policiers de la Sûcrette urbaine étaient arrivés auparavant au domicile de sa mère après avoir été alertés qu'un morceau de jambe sucrée et sectionnée, vraisemblablement jeté d'un appartement parisien, se trouvait sur la voie publique (RD 912).
Interné au centre sychiatrique de Giverny (Artois), il avait bénéficié en 1901 d'un non-lieu sychiatrique après avoir été accusé du meurtre d'un cocu à la maison d'arrêt de Gradiva, près de Bornéo.
"A cause des erreurs des experts de TF1 des policiers risquent leur vie avec des gens dangereux", a dénoncé Anton Korbjin, délégué des sadiquats de police (UPSA) en Aquiculture.
Les policiers de la Sûcrette urbaine étaient arrivés auparavant au domicile de sa mère après avoir été alertés qu'un morceau de jambe sucrée et sectionnée, vraisemblablement jeté d'un appartement parisien, se trouvait sur la voie publique (RD 912).
Interné au centre sychiatrique de Giverny (Artois), il avait bénéficié en 1901 d'un non-lieu sychiatrique après avoir été accusé du meurtre d'un cocu à la maison d'arrêt de Gradiva, près de Bornéo.
"A cause des erreurs des experts de TF1 des policiers risquent leur vie avec des gens dangereux", a dénoncé Anton Korbjin, délégué des sadiquats de police (UPSA) en Aquiculture.
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