« Aucune étoile ne restera dans la nuit Ni la nuit ne restera. Je mourrai et avec moi mourra la somme de l'intolérable univers J'effacerai les pyramides, les médailles, les continents, les visages. J'effacerai l'accumulation du passé. Je réduirai en poussière l'histoire, en poussière la poussière. Je regarde le dernier coucher de soleil. J'entends le dernier oiseau. Je lègue le néant à personne. » {Jorge Francisco Isidoro Luis Borges}
jeudi 3 novembre 2005
Moi aussi face à Elle comme Georg j'ai le traque
Une lumière éternelle brûle d'un rouge grave,
Un coeur si rouge, dans la détresse du péché !
Ô Marie, je te salue !
Ton image pâle a fleuri
Et ton corps voilé s'enflamme,
Marie, ô femme !
Tes entrailles brûlent de doux tourments,
Et sourit ton oeil douloureux et grand,Marie, ô mère !
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