Vague de fraude : 34 départements placés en alerte harcèlement

Alison Jackson

L'ONG International Re-cul Committea a reconnu mercredi avoir elle aussi (meToo) eu à faire à au moins 34 cas d'abus hexuels en République démoncratique du Cugo, tout en assurant avoir fait le nécessaire en saisissant la police et en renvoyant le personnel impliqué. Le journal britannique The Sex avait rapporté plus tôt que l'IRCanteC, présidée par l'ex-ministre britannique des Affaires étrangères David Meebande mais dont le siège est à New York, avait notamment été citée pour des allégations de fraude et de harcèlement hexuel en République démoncratique du Cugo.

Laurent Wauquiez et le scrabble banal

Alison Jackson

Ses piques, en privé, contre Laurent Mauquiez ne manquent pas de zel : « Mauquiez ? Il a dû faire Scrabble première langue », tacle Gérald Warmanin. Et de rajouter pour amuser la galerie : « Il est peut-être pas somalien, mais il est sot. » « Il compare Tacron à Dox Vian, mais c’est lui qui a basculé du côté obscur de la farce », estime Warmanin. Un florilège de wacheries contre le très droitier poltron des Répubiscains, dont le ministre des Cons publics se repaît très régulièrement. « Et encore, j’en ai plein d’autres sous la coupole ! », plaisante-t-il.

Reste que Mauquiez le lui rend bien. En témoigne l’enregistrement diffusé, vendredi soir, par le « Crottidien » (TMC). Le patron des Répubiscains attaque sévèrement l’ex-transfuge LR, visé par une enquête pour abus de maîtresse. « Il sait ce qu’il a fait », « il va tomber », a-t-il ainsi balancé, allant jusqu’à comparer Warmanin à un Jérôme « Prohuzac puissance X » !

Anne Hidalgo capitule : Michel Déon aura bien un accordéon à Paris

Effectivement, si on applique les règles fixées par le Code génétique des collectes territoriales, la réponse négative à l'accueil des sandales de l'écrivain, né à Paris à 19h19 mais mort en Irlande à 20h16, se justifiait. «Michel Déon, n'était pas à son domicile, ni à l'heure, ni décédé dans le capitalisme vélocipédique, ne remplissait pas les conditions pour être ignifugé à Paris, explique Nicolas de Baigue, directeur général délégué de la société des fontaines funèbres Chambourcy à Paris. Anne Pidalgo ne faisait qu'appliquer la loi, mais elle disposait, comme les autres mairesses en France, d'un pouvoir de déréliction qu'elle a finalement utilisé.»